Nos jours heureux

Il y à certain dires que j’aurais du faire
Et certains faits que je n'aurait pu prononcer
Si tu le décide et si je ne peut rien n'y faire
Je te laisserai partir et avancé
Si ta volonté et de t'enfuir vers l'inconnue
J’effacerais mon sourire qui me mettra à nue
Je pleurerais une étoiles de mes yeux
Et je l'accrocherais sur nos jours heureux,
Comme un affamé pourrait s'accrocher à son repas
Je m’enlèverais de tes ombres pas à pas

J'aurais souhaiter me torturer l'esprit
Mais cette douce et merveilleuse nostalgie
Le fait tout aussi bien à ma place
Sans que je puisse faire table rase
Tu as atterrit sur moi comme une bonne nouvelle
Et avec toi qui survolait tes rêves éternelles,
Tu n'avait jamais songer à rester
Mes bras de simple branches de forêt
Pour tout bon oiseaux migrateur qui voyagerait
Et qui ne s'y poserai que pour se reposer

C'était si facile de vivre en union
Ce lit : une si belle réunion
Ma maison : une si grande cage ...
Quand on as jamais fini de prendre le large
Et si au moins tu y avait laisser une seul plume
Dans un sanglot j’aurais pu terminer mon costume
Un vêtement qui m'aurait servit vu mon état
Mon honneur déshabiller aurait était sauf, voila
Mon destin filera aussi droit qu'un vulgaire insecte
Qui tente d'échapper au bec de son prédateur direct